Mes p'tits trucs!

Bon ben voilà, c'est des petits textes sans prétention que j'ai écrit! Vous m'en dites ce que vous en pensez?

C'est surtout du défoulage d'esprit, donc si ça vole pas haut... voilà, quoi!

L’enfant



L’enfant courait...
L’enfant courait, comme si sa vie en dépendait.
Mais l’enfant trébuchait et perdait du temps. L’enfant se blessait. Et l’homme se rapprochait.
L’homme se rapprochait vite! L’enfant était frèle, et l’homme robuste.
Et surtout, l’enfant pensait...
L’enfant imaginait ce que l’homme lui ferait s’il l’attrapait...
L’enfant pensait, et plus il pensait, plus il trébuchait,et plus l’homme se rapprochait.
Et puis, il faisait noir! Si noir dans l’esprit de l’enfant qui imaginait!
Puis l’enfant se retrouva dans une impasse!
Et l’homme se rapprochait, et l’enfant avait peur... Si peur de l’homme noir... Si peur...
Et l’homme se baissa.
“Monsieur Dutreuil!! Carnet de correspondance!!!”
L’enfant se dégagea, puis partit en courant.
L’enfant courait...



Lui, c'est celui de l'anniv de Totor!

La Frontière des Dolmens




Les deux dolmens surveillaient la route, comme toujours...
Elle était étroite et caillouteuse, pleine de trous tueurs, pour les carrioles qui s’aventuraient si loin!
Mais de l’autre côté des dolmens, elle était belle, grande, et son sable fin était d’un blanc de nacre. Aucun trou ne venait en couper sa régularité, et chaque grain était ratissé, pour que les carroses passent mieux...
De mon côté, les arbres morts étendaient leurs vieilles branches vers le ciel noir, toujours noir... Et l’herbe jaunie, qui mesurait plus de un mètre, chantait sa plainte désespérée à chaque coup de vent, qui striait la plaine morne!
De l’autre côté, les arbres à feuilles rouges et ors bruissaient dans le vent doux, en même temps qu’une herbe parfaitement coupée, verte et incroyablement propre!
Un ruisseau traversait, sur le côté de la route, les deux dolmens.
De mon côté, des canettes, des rats morts, et des branches d’arbre mort la bouchait... Elle suintait, coulait difficilement, et était verte des algues qui la tapissaient!
De l’autre côté, elle était bleue, à bonne température, et se déplaçait facilement, aucun obstacles ne venant couper la route de l’eau!
Je suis à la frontière des Dolmens, et je me rappelle les paroles de mes parents:
“Ne t’approche pas de la Frontière, et surtout ne la traverse pas! Ca nous est interdit depuis longtemps... N’en parle pas, et ne sois pas tenté par sa beauté! Car c’est le royaume des Dieux riches, qui nous contrôlent du haut de leurs banquet, et gêner leur tranquilité nous apporterait malheur et tourments!!”
Mais moi, j’en ai assez, et je veux savoir! J’ai l’âge où on veut savoir, et moi toutes les nuits, la question me taraude: Comment c’est derrière la Frontière?
Aujourd’hui, j’ai pris mon courage à deux mains, et je suis devant...
Ils verront tous, que moi je n’ai pas peur! Ils verront...
Je lève lentement le pied, et m’apprète à le poser de l’autre côté, lorsque dans une dernière bouffée de nostalgie, je me rappelle:
“Ne la traverse pas! Ne la traverse pas!!!”
Je pose le pied de l’autre côté...

***

La Frontière des Dolmens... On a retrouvé le corps d’un adolescent, le visage arraché... Il a une bourse de pièces d’or posée sur le torse...




Et ça, c'est pour mon D.M de math!

Je vous posterais p'tet les quelques tentatives de poésie que j'ai faites!

J'ai retrouvé mes poésies!!! Par contre là, soyez plus tolérant, c'était y'a deux-trois ans!

Prologue d'une mission à errance...

Ce Manuscrit recouvre la vie d’Elric le Bouffon des Ténèbres. N’aimant pas le langage vulgaire des humains, j’ai préféré tout écrire en vers. Vous découvrirez par cette biographie, la vie d’un homme cherchant la mort... Bonne lecture !


Strophe 1

- Bonjour, je suis un bouffon
- Je m’appelle Elric et sert un roi
- Malheureusement, on m’envoya en mission
- Dans une plaine très sombre
- Où n’existent même pas les Grandes Lois
- Où le Soleil ne projette pas d’ombres...


Strophe 2

- A cet endroit terrifiant
- Vivent de sombres gens
- Mi-hommes, mi-démons
- Fils de ceux qui gouvernent le Chaos
- Surnommés les Grands Barons.
- En ce monde déchut
- Je ne trouvais jamais d’eau
- Seulement d’immenses étendues de pus.



Strophe 3

- D’un oeil vidé
- Je marchais sur la plaine
- D’un pas décidé
- Allant vers une mort certaine.



Strophe 4

- J’avais beau le savoir
- Je ne voulais y croire
- Mon sort était scellé
- Je devais l’accepter
- Une épreuve je devais passer
- A celle de la vie, résister...
- A celle de la mort, succomber...
En mon coeur, attristé...
- En mon âme, vidée...
- Je croyais que ma route était terminée...
- Elle ne faisait que commencer...

Chapitre 1 : Une punition éternelle

Strophe 1

- Sur la plaine des morts
- Ils décidèrent de mon sort
- Je ne suis pas
- Condamné au trépas
- Mais a l’errance éternelle
- Tout en étant immortel.


Strophe 2

-Je ne verrais jamais le visage de la mort
- Les Grands Barons n’ont aucune pitié
- Ils m’ont ainsi abandonnés
- Le temps pour moi s’est arrêté
- Les dés ne sont plus à jetés.


Strophe 3

- Je suis aussi mort
- Qu’un jardin sans flore
- Mon âme bannie
- Tous les jours, prie
- Pour retrouver les plaisirs de la vie
- Sortir de ce cycle éternel
- Redevenir un mortel
- Ou même s’il le faut goûter à la mort
- Je l’ai ainsi décidé
- J’espère qu’un jour cela pourra arriver
- Enfin me délecter de mon triste sort...

Chapitre 2 : Le début d’une longue route

Strophe 1

- Jamais je ne renoncerais
- Dans toutes les batailles, j’attaquerai
- J’essaierai de trouver le trépas
- Bien que les Grands Barons me l’ai dit
- "Rejoindre la mort tu ne pourras pas"
- Je continuerai; ce sera ainsi.


Strophe 2

- Droite ou gauche?
- A gauche : odeur de vie
- A droite : odeur d’oeufs pourris.
- Je n’ai que des ébauches
- Des ébauches d’idée
- Droite finalement;je suis pressé !


Strophe 3

- Certains cours après l’or
- Moi je cours après la mort
- Cette course infernal
- Me mena dans les entrailles
- Les entrailles de la terre
- D’où ne filtrent plus aucune lumière.


Strophe 4

- Le coeur du monde
- Est, mes amis, fort sombre
- N’y ayant pas trouvé le trépas
- J’allais abandonner, pour la première fois
- Mais mes yeux furent attirés par un grimoire
- Renfermant de la magie noire.
- L’art des Nécromanciens
- Reposait, là, dans mes mains...


Strophe 5

- Alors que je me découvrais un don
- Je trouvais aussi une façon
- Une façon de mourir
- J’était pris par les rires.
- Pour finalement fondre en larmes
- J’avais bien une arme
- Mais elle ne pouvait me retirer la vie
- J’en restait ébahi :
- Je ne mourrais donc jamais !
- Jamais je ne m’endormirais...
- Il ne me restait plus qu’à aller sur un autre chemin
- Ainsi le voulait mon destin...


Et effectivement, c'est pas finit! J'ai jamais pris le temps de le finir! Voilà, bonne lecture!

bien...je t'ai déjà dis ce que je pensais pour "la frontière des dolmens".

La première est très interessante,mais la chute est un petit peut classique....ce qui n'empêche pas que je l'aime beaucoup.

olala, mon simon je suis désolée, amis je peux pas m'empêcher, quand j'ai l'occasion de donner mon avis sur quelque chose, je critique....mes compliments sont derrière, et valent bien les critiques, mais je suis navrée de ne pas dire que c'est l'oeuvre d'un génie...j'aimerais bien qu'on me dise ça à moi lorsque j'écris...mais bon voilà...la chute est classique, mais c'est chouettement écrit, très bien écrit même...

Et pour le poème, c'est ce qu'on appelle un poème amorphe il me semble, à moins que je ne confonde avec autre chose...amorphe n'est pâs flatteur n'est ce pas??

mais honnêtement le poème je l'adore, y'a juste deux trois vers qui m'embêtent, mais sinon j'adore...parce que les mots sont bien choisis, et que les rimes sont chouettes, que c'est simple et mignon...au fait: le poème amorphe, c'est rapport au nombre de pieds...ce qui n'enlève rien à la qualité du poème!!

En ce moment je lis Alphonse Allais et je suis sure que tu aimerais je ne sais pas pourquoi....

Oui, moi et le nombres de pieds dans un poème, on a toujours fait bande à part!

On s'balance des pierres de loin!

Mais sinon, pour la première, c'était un Histoire (pour l'anecdote) et j'aimais bien cette idée de nouvelle à chute et cyclique!
Pour la deuxième, c'était une idée qui m'était venue comme ça, et qui a besoin d'être peaufinée je pense!

Sinon ne t'inquiète pas Anna, je n'ai pas mis ces textes pour qu'on me jette des fleurs, mais pour qu'on me critique, justement! Pour faire des textes vraiment intéressants, plus tard!!

Donc j'attend les autres critiques, et je vous réecrirais p'tet deux trois trucs! Comme la réécriture de "La Frontière des Dolmens"!!
V'là!

je pense en effet que la frontiere a besoin de reecriture, parceque les points d'exclamation a chaque ligne ca va pas, et meme si c'est joli, il y a une certaine impression de vide.

sinon j'aime bien tes poemes aussi mais ils sont un peu pauvre dans les rimes comme dans les phrases, tu devrais essayer des associations poetiques de mots qui mettraient plus ton sens en valeur.