Suite au sujet de Simon....par moi.

En suite à tes petites publications,mon simon, et parce que j'en ai envie depuis longtemps, je vais proposer à mon tour quelques petites créations...égalemant sans prétentions!!Mais je vous en prie, ne retenez pas vos critiques, que je puisse sans scrupules donner un avis sincère et critique sur VOS parutions....

Merci Simon de m'avoir donné un prétexte pour faire cela....héhé!!

(poème de jeunesse, sans prétention aucune, modeste, et enfantin...ne cherchez pas de signification profonde, il n'y en a pas....il attend de se faire mettre en musique dès qu'un temps libre raisonnable me sera accordé....)

Ôde à la Savonette

Ô!Toi, ma Douce Savonette,
Lisse au toucher et si parfaite,
Que tendres sont tes belles bulles,
A l'enrobage fait de tulle...

Comme une trop triste patouille ,
Beauté oblige que l'on te mouille,
Pour qu'élegament tu relâches
A notre vue tes lourds panaches...

Couleur
Rondeur

Pauvre toi,...A peine l'on te touche,
Tu as pris promptement la mouche,
Et tu t'es tant ratatinée,
Et tu t'es tant recroquevillée...

L'on ne te voit plus,
Mais on te sent plus...

Le chant de la savonette,
Frottant les gants de toilette,
Enchante les mères
Et ravi les pères,
Mais fait la terreur
Des grands barboteurs!!

(pardonnez ceratines rimes irrégulières...ce que j'aime ici c'est la conclusion...mais c'est vieux!!!Ca date des dernières vacances que j'ai passé avec mon père.Je lisais les 4 filles du Dr March, si ça peut vous interesser....!!)

Alooooooors, à mon tour, ma p'tite 'Na! Twisted Evil

C'est vraiment sympa, je trouve! Faudrat la mettre en musique l'année prochaine, n'est-ce pas les S'blegs? Avec not' tout nouveau tout chaud groupe!

Bon...

Citation :: A l'enrobage fait de tulle

Qu'est-ce qu'une "tulle" Anna?

Citation :: Couleur
Rondeur

Je comprend pas ces deux vers... Je trouve qu'ils viennent casser les autres vers, qui sont vraiments sympas! Ceux-là, j'ai vraiment du mal!

Citation :: L'on ne te voit plus,
Mais on te sent plus...

Là, je chipote... Mais ça rime pas! Dans une chanson, ça f'rait p'tet bizzare! Enfin bon voilà!

Voilà, j'aime bien moi! Et met tes autres textes 'Na, qu'on s'entre-critique (et en plus c'est intéressant, je trouve!!)

couleur rondeur c'est rapport aux rimes...
tulle, c'est un tissus léger
et pour plus et plus, le jeu est mauvais, mais l'idée me plait!!!

(création éclair, et moralisatrice....je la dédie au grand schtroumpf et à la postérité!!!)

Chaperon

Chaperon pieu et brave aimait mémé-la-vieille.
Quand il lui apporta, après moults rudes tracas,
Dabs un panier d'osier sa confiote de groseille,
De la porte s'approcha et 2 fois il toqua.

N'ayant pas de réponses, lourdement insista.
Enfin Mémé-la-vieille rageusement geule:"ENTRE";
Chap'ron, bénit benêt, pénêtre en cette antre.
Méchant loup était là.Il le déchiquetta.

Moralité:

Quand en vain sans réponses 2 fois tu sonnes,
La troisième fois sera toujours la bonne...!!

Boudu!
J'ai du la lire trois fois, pour bien la comprendre!
Beeeeeeen... Elle est marrante aussi, mais elle a une signification profondde, elle?

Pass'ke je trouve que la moralité fait un peu "ouille" par rapport au deux derniers vers!
On obtient ce que l'on veut à la troisième fois... Mais le chaperon se fait bouffer!

Moi je trouve ça profond, hehehehe!

Ou alors c'était juste une blagounette! Razz

Moi je l'aime bien cette fabulette!
Faudrat vraiment que tu nous écrive les textes pour jotre futur groupe, on va tout déchirer avec des chansons comme ça! Twisted Evil

En fait c'est une fausse morale....ou une morale détournée en quelques sortes...
c'est une blague quoi...une blague ironique.le "bonne" du dernier vers est entre guillemets et en iltalique...

Voilà ma dernière création, en exclusivité mondiale sur ce forum...
Peu être comprendrez vous pourquoi il est porfondément égocentrique...Je le dédie à toutes les 'Na du monde!!!

Sonnet en Nalexandrins...

NAguère une NAïade NAïvement se baignait
Ses longs cheveux NAttés ondulant auprès d'elle.
Toute NAgeuse se NAvrait fort, voyant la belle:
Sa peau NAcrée en l'onde pure leurs hommes charmait...!

Un NArcissique NAbot, par là vint NAviguer.
Avisant notre belle -NAturiste NAturelle-
Narquois et fier, en guise de drague, vint la NArguer.
Un coud d'NAgeoire vengeur le vira d' sa NAcelle.

V'la l'NAno-chieur qui coule, et not' NApée le sauve.
Le posant sur la rive, elle sort son NArguilé.
Le NAin s'éveille, NArine au vent, et veut fumer.

La belle se rebelle, et re-giffle le chauve.
Le pôv' gémit, la douce fond, le laisse tirer...
Et tout se termin'ra en un NAnan-baiser!

Voili voilou, en éspérant que cela vous plaise!!!

Voui ! Il est génial enfin moi j'aime .... moi je NA'rrive pas a faire des poeme ....

voilà un poème que je vous dédie( mais il est aussi pour mon prof de français....).Il est compréhensible à la première lecture je pense!!
mais n'hésitez pas à critiquer...je vous aime tous!

Les belles plantes

L'on ne se doute pas du visage des plantes
Qui passent leurs journées à une longue attente
De la nuit qui viendra enfin les libérer
De l'immobilité, de leurs postures figées.

L'on ne se doute pas du caractère des plantes...
Si tu le souhaites vraiment, regarde, observe, patiente,
Et chacunes de tes peines te sera remboursée
Par ton plaisir profond d'les avoir contemplées.

Mais cherche bien plus loin, au delà de leur apparence.
Admire leurs pensées et leur âme qui danse,
Tu verras bien souvent une grande différence:

Les roses, si envoûtantes, n'ont pas l'esprit d'un pois;
Chardon, laide te futée, fait largement le poid!
Que vaut le plus: bonne reflexion ou bas de soie??

Dans ce poème, les chardons sont des filles..."Bonne réflexion", ça veut dire "intelligence", et "bas de soie", c'est rapport au coté méga supperficiel de ceratines filles qui pensent qu'à leur apparence!!C'est la beauté et le luxe.

Elle lança le concombre de toute ses forces, que la panique décuplait. Il frappa l'homme en pleine tête.Anita avait les yeux résolument clos, c'était un stupide reflexe de peur, mais elle entendit nettement le bruit sourd que provoqua la collision entre les deux légumes(car on ne pouvait pas dire que l'homme était intelligent...).Un bruit mat, qui n'eut aucune résonnance, et un autre juste après, qui, lui , évoquait la déchirure des chairs et quelque chose de sanguignolant, s'approchant vaguement de la succion visqueuse des marais...

Hubert, quand à lui, accoudé à son balcon pour humer la fraîcheur de l'air vespéral, visionna parfaitement l'action. La jeune femme fuyait en courant et boitant, ses cheveux rouges s'agitant comme des tentacules après elle, une forme indistincte à la main.Elle était nue, et sa peau blanche avait l'apparence d'un lait crémeux, sous la lumière diaphane de la lune. L'homme était à 4 ou 5 mètres d'elle, et la victoire se voyait sur son visage: il allait l'attraper, puis ses mains enserreraient son cou long et gracieux, et il observerait sa lente agonie, puis il se tuerait à ses côtés; ainsi ils seraient unis pour l'éternité, unis par la mort, unis à jamais...

Il y eut un instant qui parut suspendu dans le temps, un instant où l'on ne percevait plus les batiments, ni l'asphalte, ni rien d'autre que cet étrange couple de peur et de passion, et leur course effrénée...

Le geste de la femme fut si rapide qu' Hubert ne le vit pas.Elle se retourna et lança ce qu'elle tenait à la main.L'objet fusa, auréolé de toute l'énergie et de tout le désespoir de celle qui le projetait...Il atteignit sa cible, et éclata en mille morceau avec un curieux bruit spongieux.L'homme vacilla, et se rattrapa au mur.Le concombre l'avait sonné, mais il était de robuste constitution, et il allait bientôt reprendre tout à fait ses esprits, ainsi que sa poursuite...

Au moment où Anita crut qu'elle allait mourir, car toute sa force la quittait, et où elle s'abandonnait à l'étourdissement provoqué par l'effort violent qu'elle avait fait, ainsi que par son ventre de 5 mois, elle aperçut dans l'extrême gauche de son champs de vision un jeune homme qui sortait en courant de l'immeuble, et se jetait sur son ex-mari.Elle sourit, puis un voile noir lui tomba sur les yeux et elle s'évanouit.

Lorsqu'elle ouvrit les yeux, Hubert lui épongeait doucement le front avec un linge humide.Elle le remercia de ce qu'il avait fait pour elle, et lui, en guise de récompense, lui demandé de raconter son histoire, et celle de l'homme qui était maintenant au garde à vue au comissariat par ses soins.

Anita s'était mariée à un homme qu'elle aimait; au bout de quelques mois de mariage, elle demanda le divorce pour violence conjugales, mais iil s'agissait en réalité de bien plus qu'une simple violence...cet homme, le père de l'enfant qu'elle prtait, était fou, et il l'avait pérsécuté, puis, le soir précédant, avait pénétré par effraction chez elle. Par chance, elle prenait un bain, et l'entendit forcer la serrure; elle s'enfuit, nue, par la fenêtre, en prenant au passage dans le jardin la première chose qui lui était tombée sous la main: le concombre.

J'aime bien ce texte!
Mais je trouve vraiment dommage le dernier paragraphe! Faut laisser le lecteur s'imaginer ce qu'aurait pu faire cette femme nue poursuivie par un homme!

Et le concombre? C'est juste pour le fun? Ou y'a quelque chose en-dessous? Moi j'verrais bien quelque chose,mais on va encore me traiter de Trichelieu, alors je vais pas le dire! Wink

Voilà, j'aime bien, sauf le dernier paragraphe!

Elle apparut soudain.Fraîche.

Une fleur s'ouvrit.Et elle en sortit.

Dans ce milieu si beau, si poétique, où flottait un charme si dense, la présence d'une femme blonde au sourire malicieux, aux cheveux en bataille, à la jupe flottante au gré du vent, dotée de deux grades ailes de cygne, ne paraissait pas étrange...
Cette femme était...évidente.En la voyait, on savait que l'on tauchait à une chose indéfinissable, mais on ne se posait plus la question de savoir quoi...Cette femme magnifique était là.Et sa présence était impalpable.Elle avait une manière étrange d'être devant eux...comme une aura de douceur et de soulagement, une aura de sensation, une aura dorée de féminité pure, une aura d'onctuosité fondante, mais aucune présence compacte, matérielle, physique...

On la voyait, on la sentait, mais on savait qu'elle n'était pas là.A tout instant elle pouvait nous quitter.Ils absorbaient tout ce qui émanait d'elle. Leurs yeux étaient fixés passionnément sur sa silhouette diaphane.Cette vision les obnubilait.Alors elle es regarda, et ils baissèrent le regard.Dans le noir de leurs paupières closes, ils eurent alors une sensation ancestrale, profonde, et ressentirent la femme.

Leur narines s'ouvrirent grand pour humer qon léger parfum qui flottait sur la brise sinueuse, et qui changeait au fil du temps...
Leurs papilles dilatées goûtaient au bo,heur.
Leurs poils se hérisèrent et chaqun de leurs muscle fut attentif.
Leurs coeurs enfin s'ouvrirent.

Le garçon égrena les dernières notes qui stagnèrent un instant dans les airs avant de s'envoler vers d'autres cieux. Il se leva et abandonna tendrement son instrument.Dans la salle, les spectateurs dormaient.Cette rencontre avec la Dame Musique les avait apaisé.

Il eut un léger sourire, le plus croustifondant, le plus sensatinnel, le plus top-niagara du monde, et sortit.

Dédié à tous les musiciens...et à la Musique, évidemment.

"Ils se promènent, main dans la main, au présent simple...
Toujours au présent l'amour, mais pas toujours simple."

=)

C'est une histoire longue que je vous écrit là alors je vais la couper en plusieurs petits épisodes...

***

On aurait qu'a dire que...voyons...
Que c'est l'histoire d'un homme.
Un homme jeune, beau, et qui vit seul, très seul.Il a un fiston de quelques années.
En fait ce serait l'histoire de cet homme qui n'est pas seul mais se sent seul.
Alors pour tromper sa solitude, il va à la fête forraine, regarder les couleurs, la joie des autres, se gorger d'instants de vie.

Ce serait l'histoire d'un homme seul qui se promène dans une fête forraine en faisant sembleant d'être joyeux.

Voilà.

D'un homme qui regarde, aussi.
Son regard se promène et il tombe sur une jeune femme.Complètement hyséro.Elle est près du stand des auto-tamponneuses.Elle saute et elle hurle dans tous les sens.Elle encourage son fiston qui joue.

Et l'homme la trouve marrante alors il s'approche.Elle a l'air chouette.
Et maintenant l'histoire commence...

***

Petit épisode 2:

***

"-C'est lequel le votre?
-Le plus mignon vous le voyez là là là, dans la petite auto verte, regardez comme il est mignon!!Attendez vous le voyez??Il approche...Oui, vas Y Jacques, t'es trop fort!!!Vas y mon chéri t'es le meilleur!!!JAAAAAAACQUES!!!!!"

L'homme se marre, il regarde d'abord la maman, elle est vraiment frappée de son môme...Mais bon il peut pas lui en vouloir il comprend bien...Lui aussi il l'aime son gosse.

"-Mais regardez le voyons, vous ne trouvez pas qu'il est chou??"

L'homme le regarde.Le gosse est éclaté de bonheur, mais bon, quand même, euh....L'homme trouve que les autos tamponneuses c'est vraimant un jeu de...Mais il a pas le temps de finir de penser sa phrase.Le gosse est vraiment mignon.L'homme s'assoit.Il regarde la nana.Elle est dans son monde avec le petit et ne s'occupe plus de lui.

-"Mademoiselle??
-Oui??"
Elle reprend son souffle.Elle a beaucoup crié et beaucoup sauté pour encourager Jacques.Elle est aussi fatiguée que lui.Elle fais signe à l'homme pour lui dire d'attendre et elle va repayer un tour à son gamin.

Quand elle revient ses pomettes sont rosées.
-"Oui?
-Comment vous appelez vous si je puis me permettre?
-Mado.Comme Madeleine.Mais Mado sa va bien...
-Votre petit Jacques là...
-Ouiii?(Hystérie légère dans le oui.on parle de son gosse là.)
-Ben c'est aussi le mien de gosse.
-..."

C'est l'histoire d'un mec qui se balade dans une fête forraine.Et il s'attendait pas à sa.

***

Je ne vous raconterais la suite que si vous me suppliez,Vous verrez c'est très interesssant.

si vous lisez ce que je viens d'écrire commencez bein par le Début de l'histoire page précédente!!!

J'ai pas compris l'histoire .

Normal elle est pas finie ! Et puis, je la comprend, na !

J'veux la suuuuuuuuuuite !

purée merci simon j'te jure il m'a foutu le moral dans les chaussetes thomas..

Bon j'te fais un petit résumé de l'histoire, pauvre thomas qui comprend pas...
premier épisode:c'est un homme seul qi va dans une fete forraine.
deuxième épisode:il flasch sur une nana.et il se rend compte que c'est la mere de son fils.
j'vois pas s'qui a de compliquer à comprendre...

Bref.
La suite.
Petit épisode trois
bon ben non en fait jepars pour je ne sais pas ou...
bisoux.

Donc après ce merveilleux résumé...

Petit épisode trois.

***

-"Mademoiselle?
-...
-...
-Vous savez faut pas vous en faire moi aussi j'étais bourrée ce soir là!!Surement plus que vous d'ailleurs!!Vous voyez aprés cett soirée je me souvenais plus du tout de vous...Juste votre nom de famille, allez savoir pourquoi...Enfin bon c'était bien pratique...hein?
-Vous permettez aue je vous regarde Mademoiselle?
-Apellez moi Mado.
-Mado...Il vous ressemble ce petit Jacques.
-A vous aussi"

Silence.
Rapides pensées.

***

Un soir d'été il y'a de sa maintenant quelques années...
Dans le genre de soir´´e d'étudiant, où on se sent grand autours du feu de camps, du haut de ses 18 ans...

Y'a des histoires et quelques notes de guitare dans l'air, des vapeurs de vodka-pomme, et beaucoup d'étoiles...
On se voit pas, mais on se susurre à l'oreille de gentils mots d'amour,dans les champs dans les prés...

Au lendemain il ne reste plus rien, juste un écho dans l'oreille,l'écho d'un nom...

Et quelques mois plus tard, des naussées tout le temps.Le test est rose.Ce sera une fille.
C'est un garsson.Elle le garde.Elle a 18 ans pas de copain elle sait que c'est lui et elle connait son nom de famille.Elle contacte la mère, qui servira d'intermédiaire.Une seule consigne:qu'ils ne se rencontrent jamais.
A 18 ans bientôt 19 elle a pas que sa à faire, se prendre la tête avec le père du gosse...

Les années passent, le môme pousse.La Fête forraine.
Et là...
Le mec.
Choc.
Sourire.
Le destin, parfois...
Sacré destin, va!

***

"-Qu'est ce qui vous fait sourire, Mado?
-Le destin.
-J'y crois pas au destin.
-Quoi d'autre alors?"

"-Ouais, sa doit être sa.Le Destin."

"-Dis Mado...
-Mmm?
-Maintenant...
-On fait quoi, c'est sa?
-On repart, chacun de notre côté?
-On ne se voit plus jamais?
-On oublie l'autre, celui qui derriére la porte récupère le gosse?
-On oublie ce sourire?"

Un peu d'amertume dans la voix, le mec.
Silence.

"-Mado?
-Ouais?
-Tu le connais mon prénom?
-Oublié.
-J'm'apelle Donito.Pour Donatien.
-Mado et Donito sont dans le même bateau..., "dit Mado en souriant.

"Et ils ont peur de l'eau,"pense très fort le mec.

***

bon personne ne me réclme la fin de l'histoire sa fait toujours plaisir...

de toute fasson en fait j'aime que le début...

a partir de la ou je me suis arreté sa commenve a se dégrader serieux.

j'suis très déssue par moi, après coup!!

=>je vous rasssure quand même ils finiront par se marier.

voila =)

Putain 'Na! Pourquoi tu dis la fin, merde!
Scusez la vulgarité, mais là on dirait mon papa qui raconte toujours les films et les histoires avant que tu les ais vus ou lues.
Bref.
À cause de toi je sais pas si je veux la suite...
Nan j'déconne, vas-y balance!

ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!! ON VEUT LA FIN !!!!!

Twisted Evil

Mais attends ! Tu nous laisse réagir, oué ?

Moi j'avais pas vu que t'avais posté la suite, ça arrive à tout l'monde, nan ?

Grah, ça m'énerve ça ! Mais bien sûr qu'on veut la suite ! Rohlalalaaaa !

Ch'est pas possible ça ! rendeer

Allez :

LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE !LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE !